INSTITUT DE PASTORALE DE L'ARCHIDIOCÈSE DE RIMOUSKI | |
SESSIONS ET CONFÉRENCES 2016( Classées par dates | Années précédentes )FÉVRIER 2016 13 FÉVRIER 2016 : SESSION SPÉCIALE DE FORMATION À cette session sont convoqués tous les prêtres (qui sont curés, modérateurs ou collaborateurs), les diacres permanents, les agentes et agents de pastorale mandatés, les membres du Conseil diocésain de pastorale (CDP) et le personnel des Services diocésains. Préparée par le Comité Exécutif du diocèse (M. Guy Lagacé, coordonnateur de la pastorale d’ensemble, M. Charles Lacroix, responsable des Services diocésains de pastorale, et Mme Wendy Paradis, responsable de l’accompagnement des communautés chrétiennes), cette session se présente sous le titre : Prendre le tournant missionnaire ? (PRP-166). On lui a donné ce sous-titre : Comment comprendre le tournant missionnaire au-delà des exigences de rationalisation économique ? Voici en quels termes, Mgr Denis Grondin, notre archevêque, présente cette session : Il nous arrive de vouloir changer le décor « pour faire changement » : ça fait du bien au moral! La conversion pastorale amorcée en Église depuis le Concile Vatican II n’est pas décorative mais profonde. Elle appelle un retour aux sources de l’Écriture car nous vivons vraiment en exil comme Église et nous nous sentons souvent étrangers au cœur d’un monde dont la culture est comme une Babylone. Merci à Madame Anne Fortin [de la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval] qui va nous aider à ancrer nos points de repère comme pèlerins et témoins de la Bonne Nouvelle. Communauté de disciples-missionnaires, nous sommes invités à créer des ponts avec tous et à accepter une itinérance joyeuse sous le Souffle de l’Esprit. Bonne journée! * * * LES MATINÉES DOMINICALES DE CARÊME Pour une 13e année, l’Institut et la paroisse Saint-Germain s’unissent pour proposer en début de carême leurs trois Matinées dominicales… La formule est déjà bien connue : d’abord un récital, puis une conférence. En conférence, une personne vient témoigner de son engagement ou interroger nos comportements de croyantes et de croyants. Le récital est prévu à 14 h. Et comme c’est aussi la coutume, la conférence, qui débute à 14 h 30, est suivie d’un échange qui se poursuit jusqu’à 16 h. Enfin, tout se passe maintenant à l’église de Saint-Pie X. Ont été invités cette année : Le 14 février, Mme Anne FORTIN, théologienne et professeure à la Faculté de théologie et de sciences religieuses de l’Université Laval… Elle mène présentement une recherche sur les femmes chrétiennes et musulmanes palestiniennes qui oeuvrent pour la non-violence, d’où son thème : À l’écoute du Souffle de vie au cœur des femmes palestiniennes. À l’orgue, Jérémie Pelletier, et à la trompette, Samuel Fradette, étudiant au Conservatoire de musique de Rimouski. AVRIL 2016 9 AVRIL : FORUM-JEUNESSE 2016 (VS 110) L’Institut s’associe au Service diocésain de formation à la vie chrétienne, au Centre d’Éducation chrétienne et au Service de pastorale du Cégep de Rimouski pour présenter à la salle D-114 du Cégep de Rimouski une session spéciale que nous avons identifiée : FORUM-JEUNESSE 2016 (VS-110). Mais pour quoi faire? - Pour assister d’abord à la projection du film Les grandes soifs. Quatre jeunes en quête de sens. Et pour échanger la réalisatrice du film, Mme Delphine PIPERNI. Mais pour quoi encore? - Pour découvrir l’existence au Québec d’un regroupement de jeunes connu sous le nom de «groupe Ziléos». L’initiateur de ces regroupements en France et au Québec à Victoriaville, M. Patrick FRANÇOIS, sera présent et nous le fera connaître. * * * MAIS QUI EST DELPHINE PIPERNI? Cinéaste, Delphine PIPERNI se consacre entièrement à la réalisation de «créations engagées», soit des films commandés par des entreprises ou des organismes à portée sociale ou éducationnelle. Elle est animée d’un désir d’éduquer et de conscientiser la population à travers des œuvres cinématographiques pertinentes, humaines et touchantes. Le film Les grandes soifs est son premier long métrage documentaire. Elle souhaite que ce film provoque des réflexions et des discussions approfondies sur le sujet, tant chez les jeunes que chez les moins jeunes. Et que cette réflexion soit le départ d’un moteur d’action vers un avenir plus confiant et solidaire. Je me passionne, écrit-elle, pour cette phase de la vie où tout est possible et rien n’est certain, ce moment où le gouffre côtoie l’extase, où les plus grandes aspirations côtoient les plus grandes incertitudes. Aussi, je m’inquiète pour ces jeunes qui errent sans grandes ambitions dans un monde qui leur apparaît vide de sens. Alors que, depuis des millénaires, nous sommes les premières générations à vivre sans religion et sans rituels, avons-nous omis de nous questionner sur les conséquences d’une telle laïcisation? Ainsi, dans un Québec devenu « mal à l’aise » avec la spiritualité en général, je me questionne : comment les adolescents sans repères réussissent-ils à répondre à leurs premiers questionnements existentiels sur le sens de la vie, de la mort et de la souffrance. ET QUI EST PATRICK FRANÇOIS? M. Patrick FRANÇOIS est un des fondateurs de Ziléos. Marié et père de famille, il a 30 ans d’expérience en Église, à plein temps, dont 25 au service de la pastorale des jeunes. Au cours de ces années, M. François et son épouse Béatrice ont initié et développé, avec les acteurs du terrain et les jeunes, des projets pour annoncer l’Évangile aux adolescent(e)s, aux étudiant(e)s et aux jeunes professionnels dans plusieurs régions du monde. M. François en est par ailleurs aujourd’hui convaincu : l’Évangile est toujours porteur de nouveauté, et il peut encore donner un sens à une vie. QUELQUES MOTS ENCORE SUR LE FILM Sans repère, sans guide ni rituel, quatre jeunes qui ont entre 15 et 20 ans cherchent à tâtons un sens à leur vie, À la veille de devenir adulte, ils ont le vertige. Leur constat est clair : la vie est difficile, et les questions sans réponses abondent et provoquent en eux un vide inassouvi. Mais pas question de rester les bras croisés, une quête personnelle s’impose afin de réinventer leur vie. ET SUR LE GROUPE ZILÉOS Au Québec (Victoriaville), le mouvement Ziléos prend la forme d’un groupe d’une quinzaine de jeunes, garçons et filles, qui se réunissent quelques heures seulement tous les mois. La rencontre peut prendre diverses formes selon les besoins exprimés par les participants et participantes. Ziléos leur offre un lieu pour qu’ils puissent se rencontrer, mieux se connaître, construire des relations vraies avec les autres, trouver un sens à leur vie, répondre à leurs questions existentielles, et s’ils le souhaitent, approfondir leur foi. Ce FORUM-JEUNESSE pourra intéresser tous les parents de jeunes, tous les éducateurs aussi, tous ceux et celles qui déjà oeuvrent en pastorale comme bénévoles ou comme agentes ou agents de pastorale mandatés, somme toute tous ceux et celles qui s’intéressent aux jeunes et à leur avenir. NOVEMBRE 2016 16 NOVEMBRE. Si vous vous intéressez à l’oeuvre écrite de M. Jean BÉDARD, philosophe, essayiste et romancier du Bic, sachez qu’il vient de conclure le cycle des «Chants de la terre» en publiant tout récemment Le dernier chant des premiers peuples. (On se souviendra qu’il avait publié en 2014 Le chant de la Terre nue et en 2015 Le chant de la Terre blanche. Ces trois ouvrages sont le reflet d’une grande quête de la joie par une humanité réconciliée avec la nature.) M. Bédard sera l’invité de l’Institut le mercredi 16 novembre à 19h30. En conférence, il présentera son plus récent ouvrage. 27 NOVEMBRE : C’est sous ce thème inspire de Genèse 12,1 - Quitte ton pays, ta parenté et la maison de ton père, et va vers le pays que je te montrerai - que nous tiendrons cette année notre Panel dominical d’Avent. Quatre personnes viendront y témoigner de leur expérience : M. Rodrigo Lopez de la Colombie, qui a quitté son pays pour notre diocèse en 2007, Sr Victoria Coello du Honduras, qui a quitté son pays une première fois pour le Pérou en 1989, une deuxième fois pour le Canada en 2006, Mme Marie-France Dorais et M. Patrice Landry du Québec. Eux deux n’ont pas vraiment quitté leur pays, mais ils ont quitté un coin de leur terre québécoise, et dans un contexte bien particulier qu’ils sauront bien nous expliquer. | |
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