Abbé HENRI LANDRY, p.m.é. (1917-1990)

Né à Lac-au-Saumon le 27 septembre 1917, fils de Joseph-Alphonse Landry, gérant de magasin, et de Lucienne Langlais, établis à Trois-Pistoles en 1922; prononce le serment perpétuel d'affiliation à la Société des Missions-Étrangères de Québec le 26 juin 1943 à Pont-Viau; ordonné prêtre le lendemain à Montréal dans la chapelle de la maison mère des Soeurs missionnaires de l'Immaculée-Conception, par Mgr Louis-Eugène-Arsène Turquetil, vicaire apostolique émérite de Baie d'Hudson; incardiné à l'archidiocèse de Rimouski le 2 février 1980, tout en demeurant membre de la Société des Missions-Étrangères de Québec; décédé à la Cité de la Santé de Laval le 18 février 1990; funérailles à la Maison centrale de la Société des Missions-Étrangères à Laval le 20 février 1990, suivie de l'inhumation au cimetière de l'institut.

Études classiques au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière (1930-1939); études théologiques au Séminaire des Missions-Étrangères de Pont-Viau (1939-1943).

Durant sa première année de prêtrise, il exerce un ministère pastoral à Nash Creek (Nouveau-Bruswick), tout en étudiant l'anglais (1943-1944). Il revient au Séminaire des Missions-Étrangères de Pont-Viau comme assistant-directeur et socius (adjoint) du maître des aspirants (1944-1945). Le 29 octobre 1945, il est envoyé comme missionnaire à Cuba (1945-1961), où, après quelques mois d'apprentissage de la langue espagnole à Caraballo (1945-1946), il est vicaire et directeur d'école paroissiale de Los Arabos (1946-1949), desservant à Central Hershey (mars à novembre 1949) et à Jaruco (1949-1950), de nouveau vicaire à Los Arabos (1950-1951), à Central Mercedes et Manguito (1951-1957) et, finalement, assistant-directeur du Seminario San Alberto de Colón (1957-1961). Il revient alors au Canada, comme professeur de latin et de français pour les séminaristes cubains du Séminaire des Missions-Étrangères à Pont-Viau (1961-1964). Le 6 novembre 1964, il part pour le Honduras, où pendant 13 ans, il est professeur au Seminario San José de Tegucigalpa (1964-1977). Après une semi-retraite à Tegucigalpa (1977-1979), il est de retour au Canada et s'établit à la Maison centrale de son institut à Laval pour une retraite définitive.

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