Dr Joseph Langlais, 1937. M. Aurèle Gamache, 1940. Dr Josué Pineau, 1940. M. Germain Côté, 1940. M. Honoré Guimont, 1941. Mlle Laure Parent, 1940. M. Lazare Tremblay, 1942. M. François Asselin, 1942. M. Louis Gauthier, 1942. Dr Adélard Leblanc et son épouse Mme Béatrice Gosselin, 1944. Dr Louis-Félix Dubé, 1945. M. Alphonse Leblond et son épouse Mme Bernadette Bougie, 1947. M. Anaclet Ouellet, 1947. M. Alexandre Chevron, 1947. M. Alphée Beaulieu et son épouse Mme Anne-Marie Michaud, 1948. M. Jean D'Auteuil, 1948. M. Philéas Rioux et son épouse Mme Émilia D'Amours, 1948. M. Joseph Demeule et son épouse Mme Marie-Louise Bolduc, 1948. M. Jean-Baptiste Thibault et son épouse Mme Marie-Blanche Lavoie, 1948. M. Louis-Philippe Laliberté, 1949. Mme Louis Parent (née Marie Lavoie), 1949. Mme Ernest Dionne (née Odilla Vaillancourt), 1949. M. Émile Ouellet et son épouse Mme Célina Bérubé, 1949. M. Ovide Gagnon, 1949. M. Adélard Lebel et son épouse Mme Marie-Anna Dubé, 1949. M. Zénon Soucy et son épouse Mme Caroline Paquet, 1949. M. Edmond Saint-Gelais et son épouse Mme Odile Ross, 1949. Mlle Jeannette Lepage, 1950. M. Jean-Baptiste Bélanger, 1951. M. Joseph D'Amours et son épouse Mme Emma Paradis, 1951. Mme Joseph Bérubé et son épouse Marie-Anne Beaulieu, 1951. M. Alphonse Rioux et son épouse Mme Alice D'Astous, 1951. M. Émile Lebel et son épouse Mme Marie-Louise Beaulieu, 1952. M. Agnus Proulx et son épouse Mme Lydia Proulx, 1952. Mlle Marie-Louise Caron, 1953. M. Alfred Denis et son épouse Mme Marie-Anne Roy, 1953. M. Ernest Rousseau et son épouse Mme Alice Dumais, 1953. M. Antoine Beaulieu et son épouse Mme Louise Morency, 1953. M. Alphonse Rioux, 1953. M. Joseph Bouchard et son épouse Mme Amanda Laplante, 1953. M. Alphonse Landry et son épouse Mme Bernadette Fréchette, 1953. M. Joseph Santerre et son épouse Mme Léa Dubé, 1953. M. Alexis Thériault et son épouse Mme Délima Pelletier, 1953. M. Antoine Pelletier, 1953. M. Honoré Bélanger et son épouse Mme Octavie Desrosiers, 1954. M. Camille Massé et son épouse Mme Eugénie Bélanger, 1954. M. Lucien Deschênes et son épouse Mme Germaine Bellavance, 1955. M. J.-Albert Gagnon et son épouse Mme Yvonne Michaud, 1955. Mlle Alice Langlais et sa soeur Antonia, 1955. M. Louis Thériault et son épouse Mme Alphonsine Jean, 1955. M. Albert Martin et son épouse Mme Alphéda Landry, 1955. M. Alphonse Ross et Mme son épouse Jeanne Tremblay, 1955. M. Arthur Rioux et son épouse Mme Jeanne Roy, 1955. M. Joseph Lepage et son épouse Mme Marie Côté, 1955. M. Jean-Baptiste L'Abbé et son épouse Mme Angéline Duchesne, 1955. M. Ferdinand Blanchet et son épouse Mme Alma Fraser, 1956. M. David Rioux et son épouse Mme Éva Morin, 1956. M. Rosaire Dubé et son épouse Mme Éva Pelletier, 1956. M. Joseph-D. Michaud, 1956. M. Louis Bélanger, 1956. M. Joseph Roussel et son épouse Mme Marie Roussel, 1956. M. Amédée Ouellet, 1957. Mme Juliette Francoeur-Demers, 1957. Mme Cécile Leclerc-Hubert, 1957. M. Irénée Gendreau et son épouse Mme Simone Belzile, 1957. M. Hector Caron, 1957. M. Élias Tremblay, 1957... |
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La Croix de Saint-Germain du Mérite diocésain
Origines
Instituée en 1937 par S. E. Mgr Georges Courchesne, la Croix de Saint-Germain du Mérite diocésain a été établie «en faveur des laïques de Notre diocèse qui auront bien mérité de leurs concitoyens et de l'Église catholique» (Mandement du 17 juillet 1937).
En 1973, Mgr Louis Levesque a étendu l'attribution de cette décoration aux religieux du diocèse et Mgr Gilles Ouellet a fait de même pour les membres du clergé diocésain en 1979.
Objectif
La Croix de Saint-Germain du Mérite diocésain vise à reconnaître les mérites des personnes qui s'illustrent «par leur vertu personnelle intacte, par leur charité envers le prochain, par leur dévouement aux oeuvres sociales de bien commun, ou tout simplement, par leurs états de service sans défaillance et sans recherche personnelle dans les oeuvres de l'action catholique, c'est-à-dire, de l'apostolat des laïques participant à l'apostolat rédempteur du sacerdoce de Jésus-Christ.» (Idem).
Insignes
La médaille du «Mérite diocésain» a été créée par l'artiste Henri Hébert (1884-1950), fils du sculpteur Louis-Philippe Hébert (1850-1917). Elle représente saint Germain de Paris, patron du diocèse de Rimouski.
La médaille est accompagnée d'un bouton de revers sur lequel figure un rameau d'olivier qui symbolise la paix. La médaille et le bouton de revers sont en bronze patiné.
Informations complémentaires :
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Le prix de la Reconnaissance diocésaine
Origines
Institué en 1992 par S. E. Mgr Gilles Ouellet, à l'occasion du 125e anniversaire de diocèse de Rimouski, le prix de la Reconnaissance diocésaine «permet au Peuple de Dieu rassemblé à Rimouski d'exprimer sa reconnaissance pour les services qu'il reçoit de ses membres les plus engagés, prêtres, religieuses, religieux ou laïques» (Mandement du 7 juin 1992).
La Reconnaissance diocésaine est «conférée non seulement à des personnes individuelles, mais aussi à des équipes, à des groupes ou à des regroupements créés pour la réalisation de projets particuliers» (Idem).
Objectif
«La Reconnaissance diocésaine vise à réaliser les objectifs suivants :
• Stimuler la créativité pastorale et faire connaître aux communautés chrétiennes du diocèse et toute la population, les initiatives les plus originales et les plus enrichissantes au service de la Mission.
• Souligner l'importance de la contribution d'une communauté chrétienne, d'un organisme ou d'une personne à la réalisation de la Mission de l'Église diocésaine.
• Encourager l'implication des chrétiens et chrétiennes du diocèse dans l'une ou l'autre dimension de la communauté chrétienne : éducation de la foi, vécu communautaire, engagement pour la justice et célébration» (Idem).
Plaque-souvenir
La conception de la plaque-souvenir de la Reconnaissance diocésaine est due à un prêtre du diocèse de Rimouski, l'abbé Jean-Yves Leblond. Cette plaque, réalisée en aluminium, est montée sur un support de bois ou de plexiglas. Elle porte le titre suivant : «Reconnaissance diocésaine – Église de Rimouski». On y retrouve également les armoiries du diocèse de Rimouski et la représentation d'une goutte formant dans sa chute une série d'anneaux concentriques sur la surface d'un plan d'eau. Cette image est accompagnée de la légende : «Ce sont les gouttes d'eau qui...» Cette phrase, tirée de la chanson Amène-toi chez nous (1970) de Jacques Michel, a été choisie «parce qu'elle exprime bien le début et le cheminement d'un rêve, d'un projet» (Jacques Ferland, Texte de présentation pour la remise du prix de la Reconnaissance diocésaine, 7 septembre 1996). Sur la plaque-souvenir sont inscrits le nom du lauréat ainsi que la date de la remise du prix.
Informations complémentaires :
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