Abbé Paul Lavoie, p.m.é. (1926-2014)
Né le 25 juin 1925 à Causapscal, fils de Joseph-André Lavoie, maître barbier, et d'Éléonore Morin, administratrice; serment perpétuel dans la Société des Missions-Étrangères de Québec, le 13 mai 1953, au Séminaire de Pont-Viau; ordonné prêtre le 29 juin 1953 à Causapscal par Mgr Charles-Eugène Parent; incardiné au diocèse de Rimouski le 1er septembre 1976; en congé de maladie au Canada depuis juin 2000; décédé à Laval le 21 décembre 2013, à l’âge de 87 ans et 7 mois.
Veillée de prière à la Maison centrale de la Société des Missions-Étrangères, située au 180 place Juge-Desnoyers, Laval (Pont-Viau), H7G 1A4, le vendredi 31 janvier 2014, à 19 h 30. Funérailles célébrées dans le même lieu le samedi 1er février 2014 à 14 h. Inhumation de ses cendres au cimetière du même endroit le 4 mai 2014.
Études classiques au Petit Séminaire de Rimouski (1940-1949); études théologiques au Séminaire des Missions-Étrangères à Pont-Viau (1950-1954); études à l'Institut de pastorale de Manille, Philippines (1971-1972).
Paul Lavoie part pour le Japon en septembre 1954 et s'installe à Kuroishi où il apprend la langue japonaise et sert comme vicaire de 1954 à 1956. Il devient vicaire à Misawa et assistant-aumônier à la base militaire (1956-1958), puis vicaire à Namiuchi, Aomori (1958-1961). Après avoir visité les centres d'Action catholique d'Europe en 1961-1962, il est curé d'Ominato (1962-1976), de Kuroishi (1966-1971), supérieur régional (1967-1970). Après une année d'études (1971-1972), il devient curé de Bamiuchi, Aomori (1972-1982), d'Ipponsugi, Sendai (1982-1987) et de Shinoda, Aomori (1987-2000); il fait alors du ministère auprès des lépreux de 1987 à 2000. De 1956 à 1987, il est assistant puis directeur de maternelles dans les divers lieux de son ministère. Il revient au Canada en 2000 en raison de problèmes de santé.
Paul Lavoie a été décoré par l'Empereur du Japon, en 1991, de l'Ordre du Trésor sacré pour ses longs services en éducation.
Un complément à cette biographie provisoire suivra ultérieurement.
Sylvain Gosselin, Archiviste
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